Seul, j’étais prisonnier de mes pensées: j’avais besoin de la chair chorégraphique pour oublier. Disons-le tout net: le spectacle outrepasse parfois l’extravagance d’une nuit câline. Le mouvement des corps anéantit tout, la pensée s’évapore. Muscles endoloris, vibration de la souffrance, évanouissement de l’esprit. Pour éviter
de les vivre, je passerais ma vie à écrire des histoires autour de myth. Mais…
Myth(e)