Loin de sombrer dans l’abattement, je poursuivis la mise en mots de cette danse, sans faire fi de l’intelligence du lecteur. Aucun écrivain amateur de danse, si passionné soit-il de la littérature des jambes, ne se lancerait dans cette aventure sans espérer la complicité, si ce n’est l’hommage du lecteur […] À son tour, maintenant. Il va devoir y mettre un peu du sien, danser ses propres mots sans se contenter de ceux d’un autre. On n’a rien sans rien. Le respect le plus élémentaire de l’intelligence du lecteur commande de lui laisser cette part d’imaginaire. À lui de compléter le tableau.
Myth(e)